Gilles-Eric Séralini, fait l’objet d’une vive campagne de dénigrement et de pressions morales, en particulier depuis la publication (avec Joël Spiroux de Vendomois et Dominique Cellier), de contre-expertises remettant en cause l’innocuité sanitaire de 3 maïs OGM de Monsanto, et la réalisation pour la Cour Suprême de l’Inde, d’expertises sur une aubergine génétiquement modifiée ayant conduit le gouvernement indien à mettre en place un moratoire sur la culture de cet OGM.
Face à la violence de ces attaques qui vont jusqu’à remettre en question les conditions mêmes de ses travaux de recherche, Gilles-Eric Séralini a dû avoir recours aux tribunaux.